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ville de vanves - Page 664

  • RETOUR SUR LE CONSEIL MUNICIPAL DE VANVES : DERRIERE L’AVIS NEGATIF SUR LE PMHH, DES REGLEMENTS DE COMPTE ENTRE PRO ET ANTI MGP

    L’ensemble des communes et des intercos sont actuellement consultés sur le PMHH (Plan Métropolitain de l’habitat et du logement) qui tiendra lieu de PLH (Plan Local de l’Habitat) pour GPSO (Grand Paris Seine Ouest). Il prévoit pour Vanves, la construction de 87 logements neuf par an, de  24 soociaux  paran et 37 places d’hébergement par an. 

    Des objectifs qui correspondent à ceux fixés à la commune par le PLH de GPSO, et les objectifs de production de logements sociaux notifiés par l’Etat en application de la loi SRU. Le conseil municipal a regretté que le projet ne prévoit pas d’études foncières qui aurait permis d’évaluer plus finement les capacités de chaque commune de GPSO, comme Vanves à accueillir de nouveaux logements. Et que ce PMHH propose des objectifs de constructions neuves que pour deux ans (2019_2020). Et par ailleurs, un certain nombre d’objectifs n’ont pas été territorialisés à l’échelle de la commune, ni de GPSO, en matière de production de logements intermédiaires, de places en foyers de jeunes travailleurs, de résidentialisation de foyers de travailleurs migrants, de logements étudiants, de rénovation énergétique de logements. Un ensemble de propositions d’actions qui sont pour certaines floues, pour d’autres dépendent d’études à venir, voire, ne relévent pas de la compétence de la MGP. Ces raisons ont conduit le conseil municipal du 10 Octobre à émettre un avis défavorable alors que l’ensemble des maires ont voté favorablement lors du Conseil métropolitain présentant ce PMHH et lors du Conseil de territoire GPSO.  

    En dehors du débat sur l’urbanisation et la densification de la commune de Vanves, ce vote est quand même étonnant, de prime abord, mais pas tellement de cela si on lit cette prise de position au prisme des Hauts de Seine, en pointe du combat contre la MGP, comme ne s’en cache pas Patrick Devedjian (LR), président du département des Hauts de Seine qui défend le couple Département-Région contre le couple Interco-MGP, en Ile de France, en parlant de Région-Métropole comme Valérie Pécresse (LR), présidente de la Région.

    Alors tout ce qui peut contrer les initiatives de Patrick Ollier (LR), président de la MGP  est bon pour leur cause, d’autant  plus que le doute plane toujours quant à la future organisation administrative du Grand Paris. «Pour simplifier le millefeuille, on en a inventé un cinquiéme avec La MGP. Elle existe à peine, et elle est déjà en faillite. Ce n’est qu’un organe de communication » tonnait encore récemment Patrick Devedjian en cherchant par tous les moyens (politiciens) à contrer cette métropole. 

    Comme c’est le cas en montant au créneau. en poussant Jean Didier Berger(LR) maire de Clamart président de l’EPT Vallée Sud Grand Paris à lancer «l’Alliance des Territoires» pour demander au gouvernement «une réforme clarifiant la gouvernance du Grand Paris et assurant le bon financement des investissements indispensables à l'équilibre d’une région stratégique pour l'attractivité de la France, dans la perspective du Brexit et des Jeux Olympiques et dans un contexte de plus en plus concurrentiel» comme l’expliquait ce dernier dans les médias, ces jours-ci dont le Parisien.  

    Il joue sur du velours, car les 11 intercommunalités de la petite couronne du Grand Paris dont GPSO, appelées Territoires, aujourd’hui sont  menacés d’asphyxie budgétaire par le retrait annoncé de 55 M€ de dotations par l’Etat, prévus malheureusement par la loi NOTRe en 2019, «Si le gouvernement choisit l’immobilisme, ce sont les communes et les habitants qui seront appelés à payer l’addition par davantage d’impôts ou moins de services publics. Après des mois d’attente sur l’avenir du Grand Paris, l’Etat refuse de faire la «simplification drastique» pourtant annoncée par le Président de la République. Un immobilisme qui se traduirait par la suppression de 55 M€ pour les communes et leurs intercommunalités» expliquait-il, en menaçant de lancer une gréve de la collecte des ordures ménagéres. Une pierre dans le jardin métropolitain de Patrick Ollier (LR) et des maires qui défendent la métropole.

  • LES RENDEZ-VOUS A VANVES D’UNESEMAINE DE VACANCES

    Lundi 22 Octobre

    A 9H à l’Eglise  Saint Remy : Début des travaux d’entretien et de réparation de l’orgue qui dureront toute la semaine

    Mardi 23 octobre

    A 19H à l’Hôtel de Ville : Remise des prix Vanves Ville Fleurie organisé par le syndicat d’Initiative

  • CHALLENGER CLUB DE VANVES : UNE SOIREE SUR L’ART DE VENDRE

    Voilà une semaine, le Challenge Club de Vanves organisait le 2éme forum de l’entreprise consacré au théme de l’art de vendre, point d’orgue d’une Fête du Commerce new look qui avait été clôturé l’avant-veille sur la place de la République, comme l’a fait remarquer la maire de Vanves : «On a construit un concept nouveau pour cette fête du commerce , avec 149 commerces inscrits, 7000 participants…pendant 10 jours »

    Voilà maintenant depuis 27 ans que cette association accompagne les entrepreneurs vanvéens  et des environs afin «qu’ils soient mois isolés, mieux informés, mieux accompagnés, et à être plus cvisibles » comme l’expliquait Christine Vlavianos, sa présidente-fondatrice. En étant très à cheval sur une éthique du partage et de la solidarité. «Les missions que l’on remplit sont tout à fait citoyenne, en accompagnant les entrepreneurs dans la réussite de leur entreprise (dans les deux sens du terme)». Elle est soutenue sur la CCI (Chambre de Commerce et d’Industrie) du 92 (Hauts de Seine) qui entretient des relations étroites avec tous ces clubs de chefs d’entreprises, et notamment le Challenge Club de Vanves deouis 3 ans,  qui « permettent de chaser en meute, d’échanger, de s’entraider » comme l’a expliqué l’un de ses représentants présents. D’ailleurs elle a présenté son opération Conect Street mis en place voilà quelques mois pour soutenir la transition digitale des commerces. Une des principales actions de la CCI Paris Ile de France qui défend le commerce de proximité dans les centres villes. Les intervenants de cette soirée, se sont évertués à expliquer finalement l’art de vendre, cela s’apprend mais ne s’improvise pas, que ce soit Laurent Cligny, fondateur d’Impulsion 2000, société de vente supplétive B to B, Sylvie Diat directrice de Booster Academy (Centre d’entrainement à la vente), Alain Muleris Fondateur de Vitamine V (Développement commercial) et auteur de l’ouvrage « Trouvez vos futurs clients en 100 jours »…avec des exercivces pratiques